Les Esprits de la Nature

Qui sont les esprits de la nature ?

Comment entrer en contact avec eux et les appréhender ?

 

Nous vous expliquons quels sont leurs rôles, et en quoi ils peuvent nous aider à préserver nos lieux de vie et à rentrer en relation avec notre nature divine.

Les esprits de la nature sont les forces, les consciences, les intelligences, qui conditionnent et qui favorisent l’évolution du vivant. C’est à dire de toute la création. Ce qui fait pousser les arbres, ce qui fait battre notre cœur, ce qui fait circuler le sang, ce qui permet à la forme qu’elle soit minérale, végétale, animale, humaine de se développer.

Tout est le travail des esprits de la nature, il n’y a pas de barrières, tout ce que l’on peut voir, tout ce que l’on peut percevoir, c’est le travail des esprits de la nature, c’est la conscience des esprits de la nature. Ce monde et ces consciences, ces intelligences, vivent dans notre propre cœur, nous sommes composés des esprits de la nature, ce qui constituent nos différents corps, notre conscience, sont les consciences des esprits la nature.

Si on veut véritablement connaître les esprits de la nature il suffit simplement d’apprendre à se connaître soi-même.

Beaucoup de personnes demandent souvent où ils vivent véritablement, dans quel plan ils se trouvent et comment on peut les percevoir. Mais si on pose la question d’une manière différente. Si on se demande est-ce que nos émotions existent ? Est-ce que nos pensées existent ? Dans quel plan elles se trouvent ? C’est un peu la même chose.

C’est grâce au plan physique qu’on touche le monde physique mais c’est grâce à notre corps émotionnel que l’on rentre en contact avec le plan émotionnel qu’on appelle aussi le plan astral ou plan vital et la plupart des forces de la nature, qui sont relativement primaires, vivent dans ce plan astral. Ce qui implique qu’il est très difficile pour quelqu’un d’entrer en relation avec les esprits de la nature du plan vital, si cette personne n’entre pas elle-même en relation avec son propre émotionnel.

Si on s’adresse à quelqu’un profondément au niveau du cœur, et que cette personne mentalise la relation, on n’est pas du tout sur le même plan, on ne va pas comprendre ce que la personne nous dit. On ne va pas comprendre l’échange, même si cette personne peut rayonner un autre espace et nous toucher, on n’est pas du tout sur le même plan.

C’est pareil avec les esprits de la nature, on a tendance à imaginer mentalement qu’on les voit, qu’on les sent, parce qu’on n’arrive pas à gérer la relation qu’on a avec nous-mêmes. Parce qu’il n’y a pas à se projeter, il n’y a pas à essayer de créer quelque chose avec le mental, il y a juste à être réceptif et neutre intérieurement, à calmer ses rythmes et laisser les choses se faire à travers nous.

On vit dans le faire en permanence, on projette notre conscience en permanence à l’extérieur, le problème c’est que si on perçoit avec les organes des sens extérieurs de notre conscience, on va percevoir que les choses extérieures. Nos corps subtils sont à l’intérieur, le monde que l’on recherche, en tout cas quand on veut rentrer en relation avec les esprits de la nature, c’est un monde qui est à l’intérieur de nous. Il va nous demander une introspection

La plupart de notre perception du monde est quelque chose de tellement étriquée, tellement limitée, que de simplement imaginer qu’on puisse parler avec les esprits de la nature ou que ça existe, fait qu’on peut se demander si on n’est pas dérangé… Les gens le prennent avec humour la plupart du temps bien que ça les intrigue, bien que leurs êtres profonds et leurs propres enfants rêvent de ça. La plupart des gens rêvent que ce soit vraiment réel, parce que leur cœur sait que ça existe.

Depuis qu’on est petit on sait très bien que ça existe. On sait très bien que l’éternité infinie, cette dynamique, cet amour du monde, tout ça existe. Tout ce qu’on a rêvé, les lutins, les gnomes, les êtres qui volent, nos capacités de voir des paysages magnifiques, d’aller dans des mondes parallèles, sur d’autres planètes sont des choses qui existent. Mais notre raison, notre mental, dans lequel on s’est sclérosé, limité, nous empêche d’y aller, parce qu’il ne contrôle pas ça. C’est quelque chose qui ne peut pas contrôler, quelque chose sur laquelle il n’a aucune prise.

Dans notre monde de tous les jours, notre imaginaire a tellement été conditionné, mis dans des cases mentales, émotionnelles, on a beaucoup cloisonné les choses, on les a tellement rendus rigides et on a tellement peur de cette formidable ouverture, qu’on ne s’autorise pas à redevenir un petit enfant, ce que les enfants sont capables de faire par nature.

L’enfant a toute la souplesse nécessaire pour pouvoir entrer et pouvoir rêver d’une manière relativement saine. Il va s’amuser dans les bois, il va jouer avec son avion imaginaire, il va voir des choses, il va parler à une plante pendant trois quarts d’heure, ça ne lui pose pas de problème. C’est sa réalité, c’est son expérience et ce qu’il vit est profond. Il se passe vraiment des choses, il y a vraiment un vrai contact qui se fait.

Nous on le regarde avec un côté amusé en nous disant qu’il est dans son monde imaginaire, parce qu’on s’est coupé de ça, de notre conscience et on est allé se scléroser dans le corps mental. Par ce processus égotique dans lequel on s’est de plus en plus limité, dans le « je » dans l’individualisation, on a perdu cette capacité de rayonnement de notre conscience, dans tous les autres espaces de notre corps qui sont eux dynamiques et qui sont en relation avec le tout.

QUI SONT CES ÊTRES DE LA NATURE ? COMMENT PEUT-ON LES DÉCRIRE ?

 

Toutes les traditions animistes et autres, toutes celles qui expliquaient le panthéon de la nature, la constitution des différentes forces qu’on retrouve dans beaucoup de traditions chamaniques qui sont encore vivantes à l’heure actuelle, ont des contes et des légendes qui ne sont qu’une façon de conter de manière infantile, une réalité sous-jacente vibratoire qui constitue en définitive la création de notre monde.

Quand on commence à rentrer en contact avec les esprits de la nature, on se rend compte qu’il y a des milliards et des pluri-milliards de peuples, d’êtres et d’histoires pas possibles, des conflits, des pactes. Ces êtres sont composés dans le plan astral de différents éléments, terre, eau, air, feu, donc on retrouve des êtres de l’eau, les êtres de la terre, du feu et de l’air.

Par exemple, imaginons qu’on met du fumier pour parler des êtres du feu. Au bout d’un moment il va y avoir une fermentation du composte, des êtres du feu vont apparaitre qui vont permettre de produire cette fermentation. Ça va commencer à chauffer parce qu’ils sont à l’œuvre. C’est un écosystème naturel qui se fait automatiquement. Ils vont commencer à travailler en partenariat pour transmuter la matière. Il y a des champignons qui vont apparaître parce qu’il y a des entités qui vont manifester leur présence, qui vont se manifester dans le physique etc… et ça c’est en permanence.

Lorsqu’on regarde une petite plante, un petit trèfle par exemple et qu’on se concentre dessus et bien c’est des milliers et des millions d’êtres qui travaillent. On en voit qui font circuler la sève. D’autres qui gèrent les réseaux telluriques pour que ça se passe au mieux. D’autres qui prennent le soleil sur le haut des pétales, qui prennent vraiment le soleil pour créer la photosynthèse afin de transmettre les informations à d’autres petits êtres qui vont les conduire plus bas pour les transformer…  C’est une véritable usine quand on le regarde au niveau de la clairvoyance.

Il n’y a absolument rien qui ne se fait tout seul. A partir du moment où il y a une fonction, il y a un rôle. Derrière chaque pousse, chaque croissance, chaque éclosion, il y a des êtres, des archétypes qui sont à l’œuvre et qui ont permis ça. C’est comme un code informatique sur un disque dur dans lequel ces informations existent et qui vont devoir être exécutées par des petites mains. D’abord dans les aspects les plus hauts, par des êtres qui sont dans des très hauts plans de lumière, qui soutiennent, qui reçoivent les archétypes des plans divins pour ensuite les redistribuer. Comme un prisme qui recevrait des lumières et qui les rediffuserait par une multitude de petites mains.

On est vraiment dans un travail d’aspiration à l’évolution du divin. C’est un travail qui se fait dans la joie, qu’on retrouve dans la nature lorsqu’on perçoit ces êtres. Ils sont heureux d’œuvrer pour la planète. Ils sont investis d’une lumière et d’une joie car ils ne se posent pas de questions parce qu’ils ne se sentent pas contrôlés par des êtres au-dessus. Ils ne se sentent pas dans l’obligation de faire les choses. C’est un travail qui est naturel, une canalisation normale de leur vie, de leur conscience et de leur rôle.

Si une énergie par exemple est relativement aérienne, souple, un peu féminine, lumineuse, un peu tremblante, volatile et très rapide, lorsque notre conscience va rentrer en relation avec cette énergie, notre capacité à rendre cohérent la relation avec cette énergie, si on est en affinité avec elle, l’image d’une femme qui est plutôt blonde ou quelque chose comme ça. On pourra voir un petit être avec des petits yeux bleus pétillants avec des petites ailes qui frétillent, qui va à droite à gauche, habillé finement. Mais c’est notre conscience qui la perçoit comme ça. Ce qui est intéressant, c’est qu’à partir du moment où nous l’avons perçu comme ça, au fur et à mesure des millénaires, l’homme a calqué sur ces forces là et ces énergies-là, une vision, une cohérence, une symbolique, dans les mondes invisibles, dans des égrégores, c’est quelque chose qui finit aujourd’hui par être accessible, même à des personnes qui n’ont pas conscience de ces êtres.

On retrouve aussi des êtres telluriques, velus, lourds, un peu gros dans les esprits de la terre, un peu informes. Parce que les esprits de la terre ont tendance à avoir des qualités généralement un peu plus grossières, alors qu’avec les énergies de feu, on a tendance à avoir des êtres d’un regard vif, un regard généralement très perçant, très rapide. Pour les êtres de l’air on aura des êtres très amoureux, presque angéliques etc…On a toujours des caractéristiques, parce que ça représente une symbolique naturelle du monde tel qu’on le connaît. Mais tout ça ce n’est qu’une projection de notre conscience.

Les esprits de la nature vivent dans la forêt, vivent sur nos terrains, vivent partout en fait. Cependant il y a des endroits qui sont plus sacrés que d’autres. Beaucoup de personnes connaissent en géobiologie les vortex. Des endroits qui sont des plus petits endroits sacrés, qu’on peut commencer à voir dans la nature.

Il y a des êtres particuliers qui ont élu domicile dans certains endroits. Lorsque nous commençons à construire des maisons, des bâtiments, on doit respecter ces lieux, sinon on perturbe ces êtres. Lorsque c’est le cas, il arrive qu’il y ait des êtres qui plombent littéralement un lieu, un endroit, une maison, ou même qu’ils attaquent des personnes parce qu’ils ne se sentent pas respectés, ils se sentent agressés. Parce que la façon avec laquelle cela a été fait, n’a pas du tout plu à la qualité de l’être qui était là. On est quand même dans des mondes qui ont encore un égo. On n’est pas dans des mondes de lumière qui savent pardonner nos erreurs. On a à faire à des êtres qui défendent des territoires, qui défendent des lieux sacrés et qui sont capables d’avoir de vraies conséquences sur notre taux vibratoire.

Pour exemple, on connait une personne qui a construit une maison sur un lieu et l’être de la nature qui habite sur ce terrain a complètement plombé sa maison et quand on rentre dans cette dernière ou sur son terrain, on constate que c’est un véritable trou vibratoire. Parce que l’être de la nature est ronchon, il est assis sur son rocher et il n’est pas du tout content de la manière dont a procédé la personne qui a construit sa maison. Ce qui fait que le propriétaire qui habite les lieux est malheureusement complètement plombé.

Ce n’est pas par hasard que dans toutes les traditions, il y a eu des médiums, des chamans, des personnes qui étaient capables de faire le lien entre les mondes des esprits, les mondes de l’invisible et de la matière. Afin de créer un partenariat, pour calmer certains êtres et à créer une harmonie avec les forces de la nature et le monde matériel tel qu’il se manifestait.

A une certaine époque il y avait des anciens qui savaient qu’en faisant paître leurs troupeaux, dans certains prés, ils pouvaient constater que les animaux préféraient certains endroits à d’autres et ainsi ils en déduisaient qu’il y avait des endroits plus propices et d’autres plus négatifs à la construction.

Quand on regarde les chats, ils aiment bien se mettre sur les endroits de polarité négative, parce qu’ils aiment bien pomper ces énergies. Ils sont un peu comme des centrales de transmutation, alors que les chiens aiment les endroits plus positifs, comme les chevaux. Ça dépend des animaux, mais une personne novice peut déjà avoir une idée des lieux qui sont positifs après avoir observé les animaux.

La nature dans son évolution et dans sa conscience, aime l’ordre, aime recevoir l’intuition des forces supérieures. Il ne faut pas imaginer que couper une forêt pour créer de nouveaux endroits afin de faire de belles choses, soit refusé par la nature. Au contraire, si c’est animé par une conscience supérieure elle le sent très bien. Si on imagine des beaux jardins, quelque chose de magnifique, avec un bel étang dans lequel on va pouvoir profiter des belles plantes, on aura une acceptation, une ouverture et un accueil des forces de la nature. Elles l’accueillent parce qu’elles vont être structurées.

Quand on regarde quelqu’un qui est harmonieux, on se rend compte que c’est quelqu’un qui a réussi à harmoniser ces différents corps. A mettre de la lumière dans son corps émotionnel. A enlever certaines parties ténébreuses qui étaient en lui. Qu’il a mis de la lumière aussi dans son corps mental. Parce qu’il a réussi à élaguer certaines parties qui n’avaient rien à faire là, qui plombaient un peu sa personne.

Et bien c’est un peu pareil pour la nature. Quand on donne à la nature la possibilité de manifester quelque chose de structuré, on voit tous les arbres qui vibrent et qui s’ouvrent aussi. On voit la terre qui accueille et qui accepte. On voit que les esprits de la nature qui se retirent voire même aident littéralement au travail qui est fait, mais tout dépend toujours de l’intention que l’on a et par quoi elle est nourrie. Ce qui est canalisé dans le travail que l’on fait.

On connaissait une personne qui avait des animaux, qui adorait la nature… Lorsqu’on arrivait dans son jardin c’était magnifique, il y avait des milliers d’esprits de la nature qui l’adoraient. Dès qu’il travaillait, ils étaient à côté de lui alors qu’il n’avait aucune connaissance des esprits de la nature, mais il avait un cœur tellement énorme, tellement aimant envers la nature, que les esprits de la nature étaient attirés par son rayonnement.

Si les choses étaient vraiment faites en harmonie, on pourrait complètement concevoir une ville et un monde urbain totalement harmonieux avec des espaces de rivières qui passent, des endroits avec de magnifique arbres. Des endroits qui peuvent respirer. Une relation de l’homme avec la nature qui est respectueuse. Aujourd’hui les arbres étouffent sous le bitume on les traite avec des pesticides etc.

Quand on s’approche d’un arbre en ville aujourd’hui, il est complètement décalé, il souffre. Lorsqu’une personne est à côté d’un tel arbre toute la journée, elle reçoit ce chant vibratoire de souffrance, ça fuse dans tous ses corps.

COMMENT APPRENDRE A COMMUNIQUER AVEC LES ESPRITS DE LA NATURE ?

Ce qui peut être vraiment intéressant c’est d’aller s’asseoir dos contre un arbre, de choisir un châtaignier, un pin, un prunier et juste imaginer que derrière il y a un être. Imaginer qu’on a une personne. Pas imaginer qu’on va rentrer dans la relation avec un arbre parce que notre cerveau n’est pas habitué à parler avec un arbre. Nous sommes habitués à parler avec des êtres humains, donc il faut rendre sa cohérence, en imaginant qu’il y a un être humain derrière l’arbre, ce qui va être beaucoup plus simple. On va juste essayer de penser, est-ce que cette présence, s’il y avait un être derrière, avec la sensation qu’il y a quelque chose qui infuse dans notre corps vital. Est-ce que cet être est anxieux, est ce qu’il a l’air stressé, est-ce qu’il a l’air heureux, est ce qu’il paraît vieux, est-ce qu’il paraît jeune, est-ce qu’il m’aime bien, est-ce que je me sens bien avec etc.

Lorsqu’on fait ça avec plusieurs arbres, on se rend compte qu’en changeant d’arbres ce n’est pas le même être qu’on ressent. C’est un exercice qui peut être sympa pour les gens qui n’ont pas trop l’habitude.

Quand on rentre en relation avec un arbre, l’arbre n’a pas de corps mental, donc ce n’est pas mentalement qu’il va nous comprendre. Il ne peut pas intégrer ce qui vient du mental. En revanche, lorsque nous allons envoyer une pensée mentale, nos autres corps, notamment notre corps astral, qui correspond au corps émotionnel, va automatiquement créer une forme pensée, qui elle sera astrale, émotionnelle et c’est cette forme pensée astrale que l’arbre va percevoir.

Si nous nous habituons à exprimer avec clarté ce qu’on veut transmettre quand on regarde cet arbre et qu’on lui dit, mais qu’est-ce que tu es beau, l’arbre va percevoir la forme pensée émotionnelle de notre vision de ce qu’est la beauté, alors que si une autre personne vient et dit qu’est-ce que tu es beau il va percevoir une autre manière d’appréhender ce qu’est la beauté.

Si on n’est pas clair quand on est en train de communiquer avec un esprit de la nature et qu’on se met à parler de choses complètement flous, un peu fouillis, ce dernier ne va pas arriver à voir où on veut en venir, ce qu’on veut dire, parce que dans le plan dans lequel les esprits de la nature sont en contact ça se traduit par quelque chose qui est un peu informe, un peu chaotique.

Plus on est clair dans notre pensée, plus on est stable intérieurement, plus la qualité de ce que l’on transmet est comprise et entendue.

Certaines personnes se demandent si elles peuvent être guidées par des esprits de la nature ou leur poser des questions sur leurs chemins de vie. Les esprits de la nature n’ont conscience que du plan dans lequel ils vivent, dans lequel baigne leurs consciences. Donc on ne peut pas demander à un être de l’astral quel est notre chemin de vie. Parce que notre chemin de vie, le chemin de notre âme, ce qui est le plus juste pour nous, se trouve dans les mondes spirituels de l’âme, profondément en nous. Nous sommes des forces divines incarnées dans la création des forces de la nature. C’est dans les espaces divins que notre âme sera capable d’avoir une altitude et une profondeur pour être guidée et de nous donner les intuitions qui sont justes pour nous par rapport aux choix qu’on à faire.

Un esprit de la nature ne sait pas faire ça, car il n’est pas sur le même plan de notre âme. En revanche, il est capable de nous donner un paysage et de nous dire ce qui cloche dans le corps qu’il perçoit du plan dans lequel il est, et de dire s’il y a un problème de guérison etc. Mais il n’a pas la capacité d’en voir la cause dans le corps causal (esprit) car il n’a pas le corps constitué pour ça.

Il y a une chose qui est vraiment très importante dans le contact avec les esprits de la nature, c’est d’ouvrir son cœur. C’est par cette lumière en nous et cette ouverture amoureuse en nous-même que l’on permet d’ouvrir des portes, afin que ces forces et ces consciences puissent venir, autrement ce n’est pas les bons êtres qui viendront. Il y a des forces qui vont se manifester mais ce ne seront pas celles auxquelles on aspirait.

C’est vraiment important de créer un vrai contact avec le divin, un vrai contact avec son cœur, un contact avec les plans supérieurs, avant même de penser à travailler avec les esprits la nature. Ce n’est pas parce que nous entrons dans les mondes invisibles que nous sommes spirituels, que nous rentrons dans les mondes spirituels.

Lorsque nous rentrons dans les mondes invisibles ils ne sont pas forcément baignés d’un amour et d’une lumière divine. Tout dépend de l’espace dans lequel nous sommes, l’intention que nous allons mettre, la sincérité, la lumière, qui nous habitent, c’est vraiment une question de rayonnement.

La synchronicité se fait extrêmement rapidement dans les plans subtils. On attire à nous ce que l’on aime presque automatiquement. C’est pour ça qu’on peut très rapidement attirer une entité ou un être plus ou moins négatif si on est soi-même plombé, parce que ça répond automatiquement aux plans dans lesquels nous sommes.

Alors que dans le plan physique qui est beaucoup plus bas en vibration, il va falloir plus de temps à ce que ça descende et donc les synchronicités vont être un peu plus longues à se mettre en place.

Quand on commence à collaborer et entrer dans un partenariat avec les esprits de la nature, ça ouvre un champ tellement immense de possibilités que ça commence à être difficile à gérer quand on n’est pas guidé pour avoir du discernement et de savoir dans quel plan on se trouve exactement et avec quel être on discute et où on se trouve.

La difficulté des personnes qui rentrent en contact avec les esprits de la nature, c’est la capacité à avoir du discernement avec les différents plans dans lesquels ils sont. Parce qu’il y a beaucoup de gens qui ont tendance à imaginer qu’ils sont dans des plans de lumière alors qu’ils sont juste en contact avec des plans de l’astral et pas du tout avec des êtres du plan mental supérieur ce qui peut poser préjudice dans le sens des informations qu’ils ont eues.

COMMENT LES FORCES DE LA NATURE GÉRENT-ELLES L’ÉVOLUTION DES DIFFÉRENTS REGNES (MINÉRAL, VÉGÉTAL, ANIMAL ET HUMAIN) ? 

On a l’impression que la vie est quelque chose d’un peu figée, de quelque chose de déjà fait alors qu’en définitive la nature est quelque chose de très très vivant, qui est en évolution permanente.

Si on regarde un petit caillou. On voit son plan physique, on voit le minéral, mais si on regarde de manière clairvoyante, on perçoit tout autour une sorte de léger rayonnement qu’est le plan éthérique, le corps éthérique, qui est le premier plan le plus proche du plan physique. C’est vraiment quelque chose qu’on peut percevoir même avec les yeux. La manière simple de pouvoir le percevoir c’est soit de mettre quelqu’un derrière un fond bleu, soit derrière un fond blanc ou un fond noir et d’imaginer regarder à un mètre ou à l’infini derrière cette personne et on va commencer à voir un léger corps qui va être entre cinq et dix centimètres pour l’être humain, d’une couleur un petit peu bleu, un petit peu grisé. Ça c’est généralement le rayonnement du corps éthérique, ce qui veut dire que ce n’est pas le corps lui-même. Beaucoup de personnes confondent le rayonnement avec le corps.

Nos différents corps sont à l’intérieur de nous.  Ce qui veut dire que le corps éthérique est juste en dessous de la peau et son rayonnement est juste au-dessus. C’est la même chose pour les différents plans. Le plan éthérique, le plan astral, le plan mental et les plans spirituels, dans l’analogie on se rend bien compte que plus on monte haut en vibrations, plus on va à l’intérieur de soi profondément.

Si on veut faire un vrai transfert de conscience, une décorporation, un vrai contact, il va falloir nous-même être capable de nous identifier, d’entrer dans les profondeurs de notre corps qui est en relation avec le plan avec lequel on va rentrer en relation.

Le minéral a un corps éthérique. Ce qui est intéressant, c’est qu’il y a une évolution du plan physique, c’est-à-dire que le plan physique a aussi une évolution qui s’est fait sur des dizaines de millions d’années. Si on regarde un caillou, une améthyste, un diamant, ou une émeraude et bien on se rend compte que la qualité du rayonnement n’est pas tout à fait le même. Il y a une évolution qui s’est faite dans le rayonnement. On va avoir un très léger corps vital qui va commencer à se créer, ce qui veut dire que dans l’évolution physique au fur à mesure de l’évolution, même le minéral a évolué.

Maintenant, si on regarde le végétal c’est la même chose. Quand on regarde une plante, on va voir un corps éthérique, des éthers, qui soutiennent et qui ont permis la création du plan matériel, du plan physique de la plante et on pourra voir la présence d’un léger corps astral. C’est-à-dire un corps émotionnel. On a quelque chose au niveau physique qui est plus évoluée, qui est plus souple, quelque chose de beaucoup plus vivant, dynamique. On a toujours un corps éthérique, mais nous avons en plus un corps vital qui est beaucoup plus complexe. Ce qui est intéressant en regardant un arbuste ou un arbre centenaire par rapport à une graminée et bien on voit que même le corps émotionnel de l’arbre est beaucoup plus complexe.

On voit même que l’arbre commence à accueillir des esprits de la nature, à devenir un nid pour certaines forces qui viennent vivre en lui, ce que ne peut pas encore accueillir la petite graminée.

Si on regarde maintenant le règne au-dessus, après plusieurs millions d’années, on a quelque chose qui devient plus mobile. On a une évolution qui s’est faite au niveau du plan physique, on a un animal, quelque chose qui bouge un insecte. Un plan physique qui est beaucoup plus adaptable, souple, dynamique, qui se déplace même.

Chez l’animal, on a toujours un corps éthérique, on a un corps vital, mais un émotionnel qui est beaucoup plus complexe. L’émotionnel d’un chien, l’émotionnel d’un chat ou d’un animal est beaucoup plus sensible que celui d’un végétal. On commence à voir au niveau de l’animal un léger corps mental. Ce qui est intéressant lorsqu’on regarde un chien d’aveugle par exemple, on a vraiment le développement d’un corps mental qui est tellement développé que l’animal a commencé à avoir une dimension qui a donné suffisamment de capital dans la conscience du corps mental, qu’il commence à avoir une action consciente sur son corps émotionnel. Il réussit notamment à répulser ou à contrôler ses pulsions sexuelles face à une femelle en chaleur en continuant a conduire la personne qui traverse la rue. Il ne va pas aller voir la femelle en chaleur parce qu’il arrive à se contrôler, et ce, parce que son corps mental est suffisamment développé.

Quand on en est arrivé à ce stade en tant qu’animal, c’est qu’on est relativement près au niveau de la conscience de l’âme, à passer à autre chose.

Il y a une évolution qui se fait dans tous les plans. Autant au niveau des corps, qu’au niveau de l’âme, de la maturité de l’âme, qui grandit elle aussi au fur et à mesure des expériences

Si on regarde maintenant le règne qui est au-dessus. Le règne de l’humain, on a le même phénomène. On a un corps physique qui est encore plus complexe. Son émotionnel est beaucoup plus complexe, plus sensible et on a un corps mental qui commence à être relativement plus développé que celui de l’animal.

Ce qui est intéressant, c’est qu’on se rend compte qu’à chaque fois qu’il y a eu un développement, à chaque fois l’être est obligé de repasser par tous les états. C’est pour ça que quand un être humain va naitre, et qu’on regarde un fœtus grandir dans le corps d’une femme, toute la colonne, tous les cerveaux se forme petit à petit comme si on repassait à travers tous les règnes.

Ce qui veut dire que dans tous les corps, dans tous les plans de conscience, on a les plans bas et les plans les plus élevés. On a un corps astral qui est très animal et au fur et à mesure un corps astral qui devient de plus en plus haut, jusqu’à ce qu’il devienne spirituel et c’est pareil au niveau de notre corps mental. On a un corps mental qui est relativement inférieur, qui est presque quelque chose qui tourne en boucle. Un mental inférieur qui est conditionné à quelque chose qui n’est pas très intelligent, qui adhère à plein de croyances, de conditionnements, qui se sclérose lui-même, qui s’auto sabote… Et au fur et à mesure de l’évolution, le corps mental prend une dimension qui se spiritualise.

Chez l’être humain on voit le développement et la création du corps causal, qu’on ne voit pas au niveau du végétal et de l’animal. C’est le premier corps divin, ce corps qui va permettre à l’être de prendre conscience de sa divinité. C’est dans le corps mental, au moment de la naissance des octaves supérieures du corps mental, que l’être va prendre conscience de lui-même. Le corps mental va avoir suffisamment de dimension pour être capable de prendre conscience de la forme du monde et de prendre conscience du « Je », du « moi ». Il va se créer un « moi » et un « Je », ce qui est un processus naturel. L’ego est un processus naturel dans la croissance de l’être et de la création du monde de l’incarnation.

C’est à partir de là, où ce « Je », va permettre à l’être de pouvoir s’individualiser, de pouvoir commencer à s’identifier. Et c’est là que va commencer une souffrance consciente, une connaissance consciente.

Lors de son évolution dans le développement et la maturité l’être humain, par de multiples expériences, l’âme va de plus en plus être capable d’infuser ses qualités dans l’être. Ce qui va progressivement toucher ses parties divines et l’être va prendre conscience de sa profondeur, de son espace divin, de son âme, de la nature de sa conscience, de manière à ne plus s’identifier à ce « moi/je » comme s’il allait comprendre que cette identification compulsive au phénomène qui était le « Je », qui était le « Moi » était juste le processus d’un corps, d’une loi mécanique, d’un corps en évolution et que de par son évolution, il commence à toucher à quelque chose d’autre.

Plus l’être grandit, plus naturellement il rentre en contact avec les êtres et les consciences qui vivent dans les plans qui sont reliés au corps qu’il est en train de faire grandir. Ce qui veut dire que si nous sommes attentifs à notre émotionnel, attentif et réceptif au monde émotionnel qui nous traverse, à cette sensibilité intérieure, nous allons pouvoir être en contact avec le monde émotionnel, le monde vital et astral dans lequel nos corps baignent en permanence et là, dans nos différents corps, vivent des êtres et des consciences avec qui on peut parler.

Si on monte plus haut en vibrations dans le plan mental, on pourra être en conscience avec des archétypes du plan mental et des consciences qui vont pouvoir à travers nous, faire naître des pensées, des intuitions structurées, des formes pensées ou même stimuler notre créativité pour qu’on puisse faire des choses.

Il existe des corps spirituels qui sont dans un état latent, qu’on pourrait définir comme étant des centres énergétiques, mais ces corps sont là pour être investis afin de se manifester. Ces corps spirituels sont tellement haut qu’on ne peut pas ressentir leurs rayonnements, leurs plans, si on n’a pas les corps adaptés à ce contact.

COMMENT LES ESPRITS DE LA NATURE PEUVENT-ILS NOUS AIDER A PRESERVER L’EQUILIBRE DE NOS LIEUX DE VIE ET DE LA PLANETE ?

 

Une chose qu’on ne soupçonne pas, c’est qu’aujourd’hui la terre à des besoins. On est dans des changements vibratoires qui sont uniques dans l’histoire de la terre. Qui sont extraordinaires. L’élargissement de la conscience des plans s’est extrêmement agrandi en très peu de temps. Cela offre la possibilité à des êtres et des consciences de ces différents plans d’interagir, de pouvoir être en contact avec certaines présences.

On voit aujourd’hui dans le partenariat qui nous est proposé, des possibilités qui sont extraordinaires au niveau de la guérison et des soins de la nature.

On pourrait rentrer dans une communication au niveau multi dimensionnelle. C’est ce qui est en train de se passer à un niveau qu’on n’imagine pas, avec une efficacité qu’on n’imagine pas.

Parce qu’aujourd’hui on peut intervenir en Harmonisation Globale sur un lieu et neutraliser des perturbations dont on n’a jamais entendu parler en géobiologie. Les aides qui sont là et qui travaillent dans l’harmonisation des lieux ont une connaissance, une conscience, et un impact sur des kilomètres autour des perturbations qu’il peut y avoir. Ils sont capables de neutraliser des perturbations qui viennent même des autres planètes, d’autres lieux, d’autres espaces. Ils sont capables de neutraliser des perturbations qui existent à 35 kilomètres en dessous de la terre par rapport à la maison. On ne parle pas juste de courants telluriques, de failles, de croisement de failles, de réseaux, qui ne sont qu’un tout petit pourcentage des vraies perturbations.

On rentre vraiment dans une connaissance et des possibilités au niveau de l’harmonisation qui n’existe pas aujourd’hui à notre connaissance en tout cas.

On est dans un état d’urgence dans lequel la terre, le monde, la conscience, a ouvert des portes et a autorisé à certaines divinités, certaines consciences et certaines intelligences à interagir. À faire descendre certaines forces pour véritablement soigner, nettoyer, certains espaces.

La conscience et les plans de conscience, recherchent des êtres, des personnes incarnées capables d’être réceptives. Ce n’est pas une question d’être choisi (élu). On est juste le terrain, le canal, de forces qui offrent la possibilité de faire certaines choses. C’est la même chose lorsqu’une entreprise recherche un employé ayant certaines qualités. Si la personne a les qualités que l’entreprise recherche, elle pourra être embauchée. Ce n’est pas une question qu’elle est meilleure qu’une autre. C’est juste qu’elle a les possibilités et les qualités recherchées par l’entreprise.

Le monde, les forces, les intelligences, les dieux, les divinités, les guides de lumière recherchent des êtres. C’est la même chose pour les plans inférieurs. Les plans d’inconsciences, les plans hostiles recherchent des êtres qui ont le terrain possible de manifester des choses antis évolutives.

On ne va pas parler des plans négatifs, il faut juste savoir qu’on vit dans un monde de dualité. On vit dans une manifestation qui est en conflit avec des forces lumineuses, conscientes, et en même temps des forces beaucoup plus telluriques et inconscientes.

C’est grâce à cette contrainte, ce conflit entre ces différentes forces, dont le monde physique est la symbolique qui permet de faire éclore, de faire grandir les plans et les règnes qui sont incarnés.

Quand on regarde véritablement, avec une certaine hauteur, toutes les traditions, même spirituelles, si on regarde le feng shui, si on regarde le Vastu shastra, si on regarde l’astrologie, si on regarde le chamanisme, chacune avait bien compris qu’il y a un spectre fondamental, impermanent, mais pourtant régulier, sur lequel vive des grandes forces. Quand on nait à une certaine époque, on fait renaître la constitution de ces forces. Ce qui veut dire que les corps que l’on a revêtus, lors de notre incarnation, le corps astral par exemple est un emprunt que l’on a fait aux consciences des forces de la nature.

Ce qui veut dire que les émotions que nous vivons à l’intérieur de nous, ne sont pas des émotions qui nous appartiennent. Ce ne sont que des émotions que nous empruntons à la réaction de la conscience des forces de la nature.

Parce que la colère, le sentiment de paix, les choses que l’on peut ressentir naturellement dans notre conscience au niveau astral, au niveau mental, sont des choses que l’on connaît depuis la nuit des temps. La colère n’appartient pas à quelqu’un. Elle nait chez quelqu’un par l’affinité, les failles ou les blessures qui permettent à cette colère de prendre naissance.

Nous sommes responsables du terrain intérieur que nous cultivons, que nous acceptons intérieurement par rapport à nos blessures, nos croyances, nos conditionnements, là où en est notre maturité intérieure. Ces forces de la nature vivent en nous, prennent naissance en nous, et c’est grâce à elles que nous apprenons à prendre conscience de nous-mêmes.

On pourrait dire que nous sommes des êtres divins, des forces de la nature divine, des forces divines qui s’incarnent et que nous nous marions avec les forces de la nature. Cela donne l’incarnation d’un mariage dynamique entre les forces spirituelles et les forces beaucoup plus grossières de la nature qui sont constituées de forces plus hautes, beaucoup plus lumineuses et de forces inconscientes.

C’est ce conflit intérieur qui nous fait grandir, c’est cette grande dualité divine qui est le centre aujourd’hui même de l’enjeu de la création et de l’enjeu de l’incarnation.

Comme la terre est en train de monter en vibrations, il y a un changement, comme on l’a vu ci-dessus dans l’évolution des différents plans, dans les règnes qui montent en évolution et qui crée un nouveau corps. C’est ce qui est en train de se passer pour la planète. Tous les différents plans sont en train de grandir, le plan astral universel est en train de grandir, le plan mental universel et le plan spirituel sont aussi en train de grandir. L’interaction et la fluidité entre les différents plans sont beaucoup plus souples. De ce fait, nos corps sont capables de rentrer en réception de manière plus souple également.

Comme nous sommes déjà incarnés, on se retrouve confronté à un changement vibratoire qui peut être parfois difficile. On ressent véritablement les effets. On se retrouve confronté à une dureté de nos différents corps subtils, mais les nouveaux enfants qui sont en train de naître prennent les caractéristiques de la qualité vibratoire, de ce nouveau paysage, de ces nouvelles forces. Ce qui fait qu’on va avoir des enfants qui sont beaucoup plus conscients, avec des corps beaucoup plus souples, une réceptivité émotionnelle et mentale beaucoup plus grande. Une connexion à la spiritualité et aux espaces divins qui sera évidente.

Ce qui est en train de se passer aujourd’hui c’est quelque chose dont on parle peu. On est en train de préparer la naissance d’un nouveau règne. C’était une utopie quand on regardait le monde minéral et d’imaginer qu’un monde végétal allait naitre. Quand on regardait le monde minéral et végétal, d’imaginer qu’un monde animal allait naitre et ensuite d’imaginer qu’un monde humain allait avoir ces possibilités que n’a pas l’animal.

Et bien aujourd’hui par cette montée en vibration, les énergies qui sont en place, les intelligences qui sont en train de descendre et de s’incarner, sont en train de mettre en place la création d’un autre organisme, d’une nouvelle incarnation physique, qui ne sera pas l’humain, mais qui sera l’humain avec quelque chose de plus, quelque chose qu’on ne peut pas imaginer.

Il ne faut pas croire que l’évolution s’arrête là. La spiritualité n’est pas quelque chose qui est figée. Le monde, où les finalités, les réalisations que nous avions imaginées, qu’on retrouve dans les différentes traditions, ne sont que des étapes conscientielles à quelque chose d’infiniment plus amoureux, de plus haut et de plus divin.

Nous pouvons appeler « esprit de la nature » tous les êtres, les présences et consciences qui participent à l’élaboration et au développement de la nature dans sa globalité.

Une collaboration étroite avec les esprits de la nature

Cette nouvelle méthode d’harmonisation globale des lieux basée sur une collaboration étroite avec les esprits de la nature est une révolution dans le domaine de la conception et de l’harmonisation de l’habitat.